Le blog des elfes

L’AURA

Un CHAMP ÉNERGÉTIQUE INDIVIDUEL, RÉVÉLATEUR DES EXPÉRIENCES EN COURS ET DU DEGRÉ DE CONSCIENCE…

L’aura, un mot sanskrit, désigne le «champ énergétique» ou «électromagnétique» qui entoure un corps vivant, activé par les énergies de la Lumière divine ou de la Force vitale qui le vivifient.  Il apparaît sous la forme d’une nuée lumineuse de couleurs diverses dont la tonalité fondamentale restant assez stable, mais dont certains aspects fluctuent selon l’état d’être du moment.  Il s’agit en quelque sorte de l’atmosphère spirituelle qui enveloppe un sujet ou de l’hologramme spirituel qui le forme, une auréole ou un halo lumineux qui n’est visible qu’aux initiés dotés de la vision subtile.  Certains la considèrent comme la station émettrice de l’Énergie divine et de ses rayons cosmiques à travers un être.  Ce champ de force électromagnétique est engendré par la manifestation combinée du corps, de l’âme et de l’Esprit d’un être humain autour de la colonne vertébrale et du bulbe rachidien.  Les propriétés de ce champ magnétique répondent à des influences de l’électricité, du magnétisme, de l’infrarouge, des sons et infrasons, de l’ultraviolet, de propriétés d’ordre chimique et psychique.

Quelqu’un a joliment dit que l’aura constitue le vêtement de lumière donné par Dieu à un être désireux d’intensifier son amour à titre d’avant-poste du ciel.  Justement, l’aura devient le «vêtement de noces» que nul être ne peut toucher, d’une lumière blanche d’acier, renforcée par le rayonnement divin, quand un sujet met toute son énergie à fusionner avec la Divine Présence qui l’habite.  Car cette lumière, gardée pour toujours intacte au plus profond d’un être, en concept immaculé, répand progressivement sa lumière et brille de plus en plus à mesure qu’elle croît avec les feux du foyer et de l’amour spirituel.

Cette flamme de vie donne l’évidence de tout ce qu’un être est réellement, tout ce qu’il a fait, donnant le présage de ce qu’il deviendra.  L’intensité de son rayonnement est fonction de la vitalité et de la spiritualité du sujet.  Mais, par un simple changement de la pensée ou du ressenti, cette fontaine lumineuse peut changer de couleur, de type d’émanation, d’affinité magnétique, bref l’identité entière.  L’aura peut servir de réflecteur ou de catalyseur du Bien suprême pour tout ce qu’elle touche, comme pour le monde en général.  En effet, par son aura, un être humain peut influence un congénère en bien ou en mal, puisque que tout aura peut absorber les vibrations bénéfiques ou maléfiques.   Pour échapper à une influence nocive de ce genre, il convient d’accroître son rayonnement personnel en visualisant régulièrement qu’on y ajoute une lumière violette très pure recouverte d’un cocon de pure lumière blanche dorée à effet de miroir.

On appelle lecture d’aura l’interprétation qu’un médium, doté de clairvoyance, donne des vibrations subtiles d’un sujet.

Il existe plusieurs couches de l’aura, d’où les lectures ou les interprétations relatives à ce sujet peuvent varier selon les aptitudes ou le degré d’évolution des clairvoyants.  Pour interpréter correctement l’aura, il faut être en mesure de lire le registre akashique du sujet et détenir une certaine vision de sa totalité (globalité).    Certains captent de larges émanations tandis que d’autres en saisissent des petites.  Certains discernent différentes couleurs, d’autres n’en perçoivent qu’une.  Beaucoup ne voient qu’une bande de lumière blanche prenant des formes, des dimensions et des mouvements différents.  D’autres rapportent avoir même capté des sensations de son, d’odeur, de température, de contact, de goût ou de ressenti.  Et toutes ces hypothèses restent plausibles conformément à la façon d’évoluer de celui qui mène l’analyse.  Toutefois, le contour apparemment lumineux, qui se présente comme une bordure luminescente, reste un phénomène de rémanence optique, en raison du déplacement du regard de l’observateur ou d’un mouvement de la personne regardée, plus qu’un phénomène psychique.

Celui qui aspire à développer sa vision subtile doit éviter de désirer cette faculté pour espionner la valeur des autres.  Celui qui entretient une curiosité indue ou malsaine, cherchant à percevoir les erreurs des autres et à les juger, sans corriger ses propres faiblesses, ne parviendra jamais à activer cette potentialité.  On appelle parfois l’aura l’«enfant divin» ou l’«univers personnel».